Pourquoi j’ai du mal avec Substack

Ce post fait suite à une publication d’Eliott Meunier sur LinkedIn.

J’ai créé plusieurs newsletters sur Substack, parce que c’est un peu la plateforme du moment.

Le concept est sympa, les outils sont bien pensés et la communauté ne cesse de grandir.

Nous sommes nombreux à rêver de créer LA newsletter qui attire du monde et qui finit par être monétisée. J’y ai pensé moi aussi.

J’ai pris beaucoup de plaisir à écrire là-bas et à construire une petite communauté. Puis j’ai fini par arrêter.
Pas parce que la plateforme ne me plaisait pas, mais par manque d’intérêt sur la durée, par l’absence d’obligation de régularité, et aussi par le peu de retours sur mes écrits. Ce genre de raisons, tout simplement.

Aujourd’hui, concrètement, j’ai encore deux newsletters actives… sur lesquelles je n’écris plus :

  • Les Réflexions nomades : dans mon esprit, une sorte de prolongement de ce blog, pour y poser mes réflexions du quotidien.

  • Optimeez : une newsletter autour de deux sujets qui me passionnent, la productivité et l’IA. Un peu plus de 200 abonnés qui, je crois, apprécient ce que je partage.

Mais au fond, je ne crois pas m’y être jamais senti totalement chez moi.

Ce que j’aime ici, c’est être pleinement dans mon univers, poursuivre ce que j’ai commencé en 2004, pouvoir écrire ce que je veux et, surtout, au rythme qui me convient.

Bien sûr, la régularité est importante pour être suivi, pour être référencé. Et soyons honnêtes : si on écrit publiquement, c’est aussi pour être lu. Sinon, l’intérêt est limité.

J’ai la prétention de penser que ce que j’écris peut forcément intéresser d’autres personnes.
Oui, je passe d’un sujet à l’autre, parfois sans fil apparent. Mais peu importe : c’est moi. Chacun est libre de piocher ce qui l’intéresse.

J’aime aussi l’idée que les lecteurs ne soient pas obligés de recevoir un email à chaque nouvel article. C’est possible, bien sûr, en s’abonnant (voir le menu de droite), mais aussi via le flux RSS, ou simplement en passant ici de temps en temps.

Bref, chacun est libre. Moi le premier.
Mais si vous passez par ici, je ne vais pas le cacher : un commentaire me ferait vraiment plaisir. Car au-delà de garder une trace de ce qui jalonne ma vie, l’objectif reste le même depuis le début : discuter, échanger et partager.

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