Tout le monde se souviens de ce tragique évènement qui a causé la mort de 230 000 personnes. Parmi eux, 170 000 ont péri en Indonésie, 16 000 en Inde, 31 000 au Sri Lanka et 5 398 en Thaïlande dont 2 436 touristes. N’oublions pas également que 2 817 personnes sont portées disparues en Thaïlande. 60 000 respacés vivent sous des tentes en Thaïlande. Et rappelons ce joli chiffre : 10 milliards de dollars ont été récoltés pour reconstruire.
Ce matin dans le Parisien :
A la veille des cérémonies officielles, organisées dans les six provinces du sud de la Thailande atteintes par le raz de marée, une célébration en leur honneur s’est déroulée hier au Mémorial du souvenir de Ban Mae Khao à 40 Km au nord de Phuket-Town, là où les milliers de corps retrouvés avaient été conservés pour identification. Près de 80 Français, parents ou proches des victimes et rescapés, ont tenu à faire ce douloureux déplacement, acceptant l’invitation des autorités thaïlandaises, à l’instar des 1 200 autres étrangers. Ils étaient une vingtaine recueillis devant ce singulier mur érigé de drapeaux du monde entier, chaque pays disposant, au côté des autres, d’un pan stèle omé de fleurs et de bougies. « Nous nous associons à la douleur de toutes ces familles du monde qui ont été frappés », à souligné François Barry-Delonchamps, directeur des Français à l’étranger, qui représentait le ministre des Affaires étrangères.
Un an après, 77 % des 3 544 corps retrouvés et conservés dans des conteneurs frigorifiques onté été identifiés par les équipes en place à Phuket. La semaine dernière, les 723 dépouilles sans identité, que les autorités avaient envisagé d’enterrer avant de renoncer sous la pression internationale, ont été transférées à Bangkok.
Parmi les victimes du tsunami, 95 sont françaises. Certains ont été rapatriées dans les jours qui ont suivi la catastrophe. Pour les disparus, 76 demandes d’identification ont été déposées. Au fil des mois, 71 dépouilles ont été identifiées et ainsi rendues à leur proches. Restent aujourd’hui un adulte et quatre enfants toujours non identifiés.
Dans le Parisien de ce matin, il y a des photos qui représentent la vie là bas, un an après, qui a heureusement bien changé. Je ne les scanne car je n’ai pas les droits nécessaire pour les mettres en ligne sur mon blog, même si celui n’est pas à des fins commerciales.
Par exemple, on peut voir un couple qui avait eu de la chance de retrouver son enfant, Abhilash, surnommé « Baby 81 ». Aujourd’hui, ils vivent heureux tous les trois dans l’est du pays.
