Sarkozy, trop people ?
Ce qui va changer en 2008
20 Minutes nous offre un article très complet en ce début d’année 2008 sur tous les principaux changements à venir en 2008 dans plusieurs catégories : Economie, Société, Scolaire, Etudiant, Politique…
Témoignage exclusif d’un scientologue pour Informacyde
Bonjour
J’aimerais réagir par rapport à la Scientologie car je trouve indécent qu’un certain nombres de réponses soient faite par des gens qui visiblement ne connaissent pas cette religion. Voici mon témoignage et je peux vous assurer que moi qui suis comme saint Thomas (qui ne croit que ce qu’il voit) j’ai souvent vu.
Aujourd’hui j’ai 55 ans et je suis un ancien toxicomane.
Entre 1970 et 1975, je suis allé 25 fois en hôpital psychiatrique en désintoxication. J’y suis resté au total 3 ans, parfois mis d’office par la police mais le plus souvent par moi-même.
Une lettre d’Ingrid Betancourt
Une lettre très touchante...
Voici les extraits diffusés samedi 1er décembre par son comité de soutien, de la lettre qu'Ingrid Betancourt, otage des Farc depuis 2002, a adressé à sa famille.
«C’est un moment très dur pour moi. Ils demandent des preuves de vie brusquement et je t’écris mon âme tendue sur ce papier. Je vais mal physiquement. Je ne me suis pas réalimenté, j’ai l’appétit bloqué, les cheveux me tombent en grandes quantités Je n’ai envie de rien. Je crois que c’est la seule chose de bien, je n’ai envie de rien car ici, dans cette jungle, l’unique réponse à tout est « non ». Il vaut mieux donc, n’avoir envie de rien pour demeurer au moins libre de désirs. Cela fait 3 ans que je demande un dictionnaire encyclopédique pour lire quelque chose, apprendre quelque chose, maintenir vive la curiosité intellectuelle. Je continue à espérer qu’au moins par compassion, ils m’en procureront un, mais il vaut mieux ne pas y penser. Chaque chose est un miracle, même t’entendre chaque matin car la radio que j’ai est très vieille et abîmée. Je veux te demander, Mamita Linda, que tu dises aux enfants qu’ils m’envoient trois messages hebdomadaires (...). Rien de transcendant si ce n’est ce qui leur viendra à l’esprit et ce qu’ils auront envie d’écrire (…). Je n’ai besoin de rien de plus mais j’ai besoin d’être en contact avec eux. C’est l’unique information vitale, transcendante, indispensable, le reste ne m’importe plus(…).
